La pluie de coups qui s'abattit,

  Sur le crane de Jade assaillie

  Par les assauts fulgurants du pourfendeur de Vinakari,

  Résonnent comme ceux sur le tambour de la rage indéfectible,

  Qu'il porte en son c?ur emplie

  D'une crise existentielle infinie.

  La tête de la Marquise bouge,

  Comme le pendule d'une horloge qui sonne douze.

  Lors du dernier impact, le sang rouge

  Marque sa lèvre inférieure et amène une toux,

  Donc l'expectoration est violente.

  Elle s'écroule contre les quelques fleurs qui subsistent.

  Face contre ciel elle résiste.

  Sa mort qu'elle fuit lentement,

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  Ne va peut-être pas venir à Jade maintenant.

  Alors que Ruh place ses pieds contre ses bras,

  Et se prépare à marteler son visage,

  Elle ouvre sa bouche et tire sa longue langue autour du cou de l'homme.

  Le fait glisser sur le c?té, puis voler, avant de l'écraser en somme.

  Elle charge d'un bont pour exploser,

  Son pied contre la joue de son adversaire.

  Jade lui saute dessus et l'écrabouille de tout son être.

  Ruh lui attrape un pied pour lui retourner,

  Ongles d'orteils pour susciter quelques peines.

  Alors que l'homme bondit pour attraper la gorge de la femme,

  Elle dispara?t tel un drame.

  Trois immenses caméléons sortent du sol,

  Se précipitant vers le combattant.

  Il attrape son premier sabre et taillade d'un col

  Sanglant la gorge du premier rapidement.

  Sa gorge s'écrase sur elle même et il se baigne bien vite dans son liquide.

  Les deux autres immergent Ruh de coups de queues et de langues.

  Entre deux attaques, il bondit sur le dos de l'un et abat son talon contre son front raidi.

  L'animal se secoue dans tous les sens et l'homme tangue.

  Opportunité unique pour le second qui lui plonge dessus gueule ouverte.

  Ruh utilise alors sa lame pour trancher en deux la bête.

  Et alors qu'il allait achever le dernier caméléon,

  Jade appara?t juste derrière lui, avec son épée,

  Pour trancher sa gorge, faire taire arrogance et ambitions.

  - Merci d'avoir éliminé cet esprit de pacotille, je comptais le faire moi-même, en vérité.

  Maintenant, disparais dans l'oubli, Ruh !

  La chaire est tranchée,

  Et le sang est versé.