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XXV : Ezra Vs Orgino

  Ruh ouvre la lourde porte d'acier pourpre ornée par des filaments dorés.

  Le son prêté du grincement se fait pressant,

  Et l'entrée est libre.

  Il passe et déambule dans la première pièce vide.

  Le rouge royal donnait un air transcendant à la pièce divinisée.

  Il s'agissait d'un hall menant à trois lieux,

  Les escaliers menant aux sous-sols,

  Ceux qui donnent accès vers les précieux,

  Et la première pièce à vivre bercée d'or.

  Il entre à l'intérieur,

  S'assied sur un grand fauteuil, croise les mains et fixe le feu d'une cheminée.

  Au dessus des tableaux de Jade, Vinakari et un homme mystérieux avec un casque en fer éclairé,

  Se trouvé le corps d'un caméléon empaillé depuis des milliers d'heures.

  - Pourquoi suis-tu ?

  Le Disgracié avait marché aux c?tés de Ruh, en restant à distance depuis qu'il avait pris la fuite d'un air paniqué.

  - Tarshkila a tant sacrifié pour mettre l'Homme au centre du monde... Alors pourquoi ? Pourquoi lui faire face comme un enfant têtu ?

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  Même si tu sembles très violent, tu es clairement une personne raisonnée, alors pour quel dessein ces actions sont-elles perpétrées ?

  Ruh marque un silence.

  - Où sont les archives ?

  - Je ne sais pas... Mais on pourrait trouver quelqu'un qui... Je veux dire, conna?tre leurs emplacements ? Je te promets, vraiment, je ne cherche pas à te tromper, c'est pas comme si je pouvais quoi que ce soit contre toi, mais je pense que si des personnes doivent savoir où se trouvent celles-ci...

  - Je te suis.

  Les deux descendants des escaliers.

  Un dragon de flammes noires descend sur Ezra.

  Elle pare avec son bouclier de toile tout juste né,

  Orgino charge avec sa double lame qu'elle bloque avec sa jambe d'un geste raffiné de diva.

  Puis un double récital se lance.

  Les deux s'élancent,

  Pluie de coups qui résonne comme des fracas du silence,

  Le soldat met un coup de pied dans le ventre de la femme,

  Elle roule sur le sol et se cogne contre le mur d'une maison,

  Des tirs de braises foncent sur elle comme une rafale infame,

  Elle pivote sur le c?té encore et encore puis arrache la porte de la demeure pour se protéger des projections.

  Charge puis balance sa protection de bois sur sa cible avant de bondir en l'air.

  Orgino transperce le bois avec sa lame,

  Mais l'araignée est sur le point de l'écraser par terre.

  Alors au dernier moment, comme une surprise sépulcrale,

  Brillant d'un bel argent, il sort un katana.

  Et est sur le point de le balancer comme un couteau de lancer,

  Pour acérer comme le rapace,

  Déco

  super comme la chasse,

  Son ennemi l'araignée.

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